Transition:” Il y’a des intérêts divergents au sein de la CEDEAO” souligne Bah Oury
Depuis plusieurs mois maintenant, le dialogue politique semble toujours n’est pas bougé. Après la libération des acteurs sociopolitiques et la levée du contrôle judiciaire de ces leaders , sous la médiation du premier ministre Dr Bernard Gomou ainsi que les religieux afin de permettre à la Guinée de sortir de la transition.
Interrogé sur la question du dialogue sociopolitique, Bah Oury estime que la porte est grandement ouverte pour ces partis qui n’ont pas participer au dialogue. Il pense qu’il est nécessaire de s’unir et de régler le problème entre guineen.
“Pour vous dire que le dialogue n’est pas clos, nous avons pris langue avec les facilitatrices pour solliciter l’organisation des plénières entre les coalitions politiques et les coalitions faîtières pour passer en revue la question de l’effectivité de la transition actuelle. Où est ce que nous en sommes? Quels sont les obstacles ? Quel est le timing ? Quel est le chronogroamme de manière détaillé ? Pour nous permettre d’avoir une meilleure visibilité. Il faut que, ceux qui sont interpellé, dont la parole porte puissent être à tout moment en phase et en adéquation avec ce qu’ils vont dire. D’où la nécessité d’avoir pour nous, une information , la plus précise, la plus détaillée pour que la communauté nationale et internationale, lorsque nous parlons, qu’elle fasse confiance à ce que nous allons leur dire.” A indiqué le président de l’UDRG
Plus loin, il ajoute “ Cette transition n’est pas faite pour quelqu’un d’autre, elle est fait pour les guinéens, si on échoue, ce sont les guineens et la Guinée qui echoue, cela veut dire que lorsque vous êtes en face des intérêts majeurs de votre pays, qu’il y’ai un œil extérieur ou pas, vous devez assumer avec rigueur et responsabilité votre mission pour permettre à votre pays de sortir d’un cadre difficile. Cela veut dire aussi que je n’ai pas besoin que quelqu’un vient voir comment je gère ma famille. Lorsque vous êtes entrain de gérer les affaires de votre pays, ne jouez pas avec, si vous êtes ailleurs, vous pouvez vous amusez, éventuellement en disant que ce n’est pas mon pays. D’où la nécessité absolue pour quiconque de gérer correctement les affaires de la Guinée pour les guineens et non pas de jouer avec les guineens. Ceux qui ont joué avec la Guinée ont été jeté dans les poubelles de l’histoire, d’une manière ou une autre et la nécessité absolue dans le cadre de cette transition d’être rigoureux et précis et de tout faire pour que les facteurs favorables pour accompagner la transition se fasse, y compris l’implication de la CEDEAO.” a t il souligné
L’ancien député poursuit en s’en prenant à la CEDEAO, il estime que la communauté internationale est marquée par les querelles égoïste
“ Il y’a des intérêts divergents au sein de la CEDEAO, on a vu le 3ème mandat, il ne nous ont pas accompagné, ils ont fait la sourde oreille avec l’union Africaine, dans la charte, il dise des changements intempestifs pour procéder à des manipulations juridiques pour conserver le pouvoir ou le confisquez est considéré comme un coup d’État, ils n’ont pas tenu compte de cela. Et après le 05 septembre, il se permette de dire, il faut libérer les lieux dans 6 mois. C’est pour dire, ce que nous devons faire, nous le faisons pour nous et pour la Guinée, dans un champs international marqué par de l’égoïsme et des rivalités.” A t il conclu